Organes: Poumon, type non à petites cellules - Spécialités: Chimiothérapie - Le promoteur: Novartis Pharma
Novartis Pharma MAJ Il y a 5 ans

Étude CINC280B2201 : étude de phase 1b-2, randomisée, en escalade de dose, évaluant la tolérance puis l’efficacité d’un traitement par capmatinib (INC280) associé ou non à l’erlotinib, par rapport à un traitement associant platine et pemetrexed, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, avancé ou métastatique avec une mutation de l’EGFR et une amplification de cMET, et ayant acquis une résistance à un précéden traitement par un inhibiteur de EGFR. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85-90% de l’ensemble des cancers du poumon. Environ 10% des patients de cancer du poumon non à petites cellules ont l’EGFR muté. Ces patients sont plus sensibles aux traitements par des inhibiteurs d’EGFR, mais ils peuvent développer des résistances acquises à ce traitement. L’activation du gène cMET promeut la prolifération, la survie, la motilité et l’invasion cellulaire, favorisant la croissance tumorale. L’INC280 est un inhibiteur de c-MET qui a montré une capacité de réduire la migration et l’adhésion des cellules tumorales, ce qui valimiter la formation de métastases. L’objectif de cette étude est de comparer la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’INC280 seul à l’INC280 en association avec une thérapie ciblée par de l’erlotinib et à une chimiothérapie à base de platine plus du pemetrexed chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique, muté pour l’EGFR, avec une amplification de cMET et une résistance acquise à un traitement antérieur par un inhibiteur de la tyrosine kinase EGFR. Les patients sont répartis en 3 groupes de façon aléatoire : Les patients du premier groupe recevront de l’INC280 par voie orale en monothérapie. Les patients dudeuxième groupe recevront de l’INC280 par voie orale plus de l’erlotinib par voie orale. Les patients du troisième groupe recevront une chimiothérapie à base de sels de platine (cisplatine ou carboplatine) par voie intraveineuse plus du pemetrexed par voie intraveineuse. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

Essai ouvert aux inclusions
Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CINC280B2201 : étude de phase 1b-2, randomisée, en escalade de dose, évaluant la tolérance puis l’efficacité d’un traitement par capmatinib (INC280) associé ou non à l’erlotinib, par rapport à un traitement associant platine et pemetrexed, chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules, avancé ou métastatique avec une mutation de l’EGFR et une amplification de cMET, et ayant acquis une résistance à un précéden traitement par un inhibiteur de EGFR. [essai clos aux inclusions] Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85-90% de l’ensemble des cancers du poumon. Environ 10% des patients de cancer du poumon non à petites cellules ont l’EGFR muté. Ces patients sont plus sensibles aux traitements par des inhibiteurs d’EGFR, mais ils peuvent développer des résistances acquises à ce traitement. L’activation du gène cMET promeut la prolifération, la survie, la motilité et l’invasion cellulaire, favorisant la croissance tumorale. L’INC280 est un inhibiteur de c-MET qui a montré une capacité de réduire la migration et l’adhésion des cellules tumorales, ce qui valimiter la formation de métastases. L’objectif de cette étude est de comparer la sécurité d’emploi et l’efficacité de l’INC280 seul à l’INC280 en association avec une thérapie ciblée par de l’erlotinib et à une chimiothérapie à base de platine plus du pemetrexed chez des patients ayant un cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique, muté pour l’EGFR, avec une amplification de cMET et une résistance acquise à un traitement antérieur par un inhibiteur de la tyrosine kinase EGFR. Les patients sont répartis en 3 groupes de façon aléatoire : Les patients du premier groupe recevront de l’INC280 par voie orale en monothérapie. Les patients dudeuxième groupe recevront de l’INC280 par voie orale plus de l’erlotinib par voie orale. Les patients du troisième groupe recevront une chimiothérapie à base de sels de platine (cisplatine ou carboplatine) par voie intraveineuse plus du pemetrexed par voie intraveineuse. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

Essai clos aux inclusions
Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CANOPY-1 : étude de phase 3 randomisée évaluant la sécurité et l’efficacité du pembrolizumab associé à un doublet de chimiothérapie à base de platine, avec ou sans canakinumab, comme traitement de première ligne pour le cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique non squameux et squameux. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) est un type de cancer du poumon, qui se différencie du cancer du poumon à petites cellules (CPPC) par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent, qui représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Il y a plusieurs possibilités de traitement, selon le type et le stade du cancer : la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées, et l’immunothérapie, parmi lesquelles le pembrolizumab est actuellement indiqué en monothérapie dans le traitement de certains cancer bronchique non à petites cellules. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur pour les traitements anticancéreux, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre la tumeur. Le pembrolizumab cible et bloque une protéine appelée PD-1 à la surface de certaines cellules du système immunitaires ce qui permet de les activer et tuer les cellules cancéreuses. Les chimiothérapies sont des molécules qui se fixe à l’ADN et empêche sa réplication, ce qui conduit à la mort cellulaire des cellules cancéreuses. Le canakinumab est un anticorps qui est utilisé pour traiter des affections inflammatoires rares. La recherche porte de plus en plus à croire que l'inflammation joue un rôle dans l'apparition, la croissance et peut-être même la propagation du cancer à l'intérieur du corps. Quoique prometteurs, les résultats concernant l'effet anticancéreux de ce dernier devraient être considérés comme préliminaires. Des essais cliniques pour explorer le potentiel anticancéreux du canakinumab sont maintenant nécessaires, surtout dans le domaine du cancer du poumon. Un placebo est un médicament sans principe actif. Il n'a donc de ce fait aucun effet pharmacologique dans la pathologie qu'il est censé traiter. Pour autant, il n'est pas toujours sans bénéfice sur la santé des patients, car il agit via l'effet placébo. L’objectif de cette étude est d’évaluer la sécurité et l’efficacité du pembrolizumab associé à un doublet de chimiothérapie à base de platine, avec ou sans canakinumab, comme traitement de première ligne pour le cancer du poumon non à petites cellules localement avancé ou métastatique non squameux et squameux. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du canakinumab associé à du carboplatine, du cisplatine, du paclitaxel, du nab-paclitaxel, du pémétrexed et du pembrolizumab. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront un placebo du canakinumab associé à du carboplatine, du cisplatine, du paclitaxel, du nab-paclitaxel, du pémétrexed et du pembrolizumab. Le traitement sera répété toutes les 3 semaines en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 38 mois.

Essai ouvert aux inclusions
Novartis Pharma MAJ Il y a 4 ans

Étude CANOPY-2 : étude de phase 3, randomisée comparant l'efficacité et l'innocuité du canakinumab associé à du docétaxel par rapport à un placebo associé à du docétaxel, chez des patients adultes ayant un cancer du poumon non à petites cellules précédemment traité par des inhibiteurs de PD-(L)1 et par chimiothérapie à base de platine. Le cancer du poumon se développe à partir de cellules situées dans le poumon et qui se sont multipliées de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer du poumon non à petites cellules est un type de cancer du poumon, qui se différencie du cancer du poumon à petites cellules par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Le cancer du poumon non à petites cellules est le type de cancer du poumon le plus fréquent. Il représente 85 à 90% de l’ensemble des cancers du poumon. Il y a plusieurs possibilités de traitement, selon le type et le stade du cancer : la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées, et l’immunothérapie. Les chimiothérapies, comme le docétaxel, sont des molécules qui se fixe à l’ADN et empêche sa réplication, ce qui conduit à la mort cellulaire des cellules cancéreuses. Le canakinumab est un anticorps qui est utilisé pour traiter des affections inflammatoires rares. La recherche porte de plus en plus à croire que l'inflammation joue un rôle dans l'apparition, la croissance et peut-être même la propagation du cancer à l'intérieur du corps. Quoique prometteurs, les résultats concernant l'effet anticancéreux de ce dernier devraient être considérés comme préliminaires. Des essais cliniques pour explorer le potentiel anticancéreux du canakinumab sont maintenant nécessaires, surtout dans le domaine du cancer du poumon. Un placebo est un médicament sans principe actif. Il n'a donc de ce fait pas effet pharmacologique dans la pathologie qu'il est censé traiter. Pour autant, il n'est pas toujours sans bénéfice sur la santé des patients, car il agit via l'effet placébo. L’objectif de cette étude est de comparer l'efficacité et l'innocuité du canakinumab associé à du docétaxel par rapport à un placebo associé à du docétaxel chez des patients adultes ayant un cancer du poumon non à petites cellules précédemment traité par des inhibiteurs de PD-(L)1 et par chimiothérapie à base de platine. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du canakinumab associé à du docétaxel toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients du 2ème groupe recevront un placebo du canakinumab associé à du docétaxel toutes les 3 semaines. Le traitement sera répété en l’absence de progression de la maladie ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 26 mois.

Essai ouvert aux inclusions